La restauration clandestine d'Argentine

Le phénomène de la restauration clandestine en Argentine n’est pas nouveau. Il a pris de l’ampleur depuis 2001. L’économie fragile et le laxisme gouvernemental favoriseraient leur éclosion. Ce phénomène est davantage concentré à Buenos Aires où on en retrouve plus de 100. Des chefs ouvrent leur entreprise à faible risque limitant le nombre de convives pour deux à trois nuits par semaine dans leurs maisons pour un dîner à prix fixe. Les coûts relatifs à la restauration sont élevés. Les coûts de la gestion des entreprises peuvent être élevés. Un chef peut payer la modique somme de 180 000 $ AR (environ 17.000 US $) lors del'ouverture d’un restaurant «légal» pour couvrir tous les coûts et permet, enplus de plus de 40.000 AR $ (environ US $ 3,600) chaque mois, des frais évitéspar les restaurants clandestins.

Ces restaurants ne font pas l’unanimité. Certains les comparent à un DVD piraté de l’industrie du cinéma. De plus, les restaurateurs s’évitent la supervision relative à l’hygiène. Les habitués mentionnent que les repas s’éloignent de la restauration traditionnelle servie en Argentine et sont nettement supérieurs.

Parmi les plus populaires, on retrouve Casa Felix. On connait l'adresse une fois la réservation complétée. Casa Felix est le plus connu. Que sert-on? Il est difficile d'en savoir plus. Si on se fie aux informations récoltées ici et là, les repas accueillent environ 12 personnes du jeudi au samedi. Ils servent des mets composés de produits rapportés de leurs voyages en Amérique latine à base de poisson, de légumes exotiques, herbes et épices.

Photo © Casa Felix

Casa Felix
Email: info@colectivofelix.com
Tel: (54-15)-4147-8100

Casa Felix sur Facebook et Instagram

Une ferme urbaine au cœur d’un immeuble à bureaux de Tokyo

 Source photo : Citizen Post

Pasona, une firme japonaise spécialisée dans les ressources humaines a investi un immeuble afin de développer le concept de « ferme urbaine » depuis 2010. Conçu par la firme Kono Designs, le concept occupe un immeuble de 9 étages datant des années 1950, sur une surface occupant 40 000 m² alloués aux cultures et à la végétation dans le but de faire cohabiter les employés avec vergers et potagers. L’intérêt de développer cette culture des plantes à l’intérieur est qu’elle les éloigne des parasites naturels. À l’abri des pesticides, la récolte est 100% organique.

Le concept est aussi présent en Allemagne. Or, l’université technique de Berlin, étudiant la qualité des produits cultivés au sein de la capitale allemande, a remarqué que les légumes relevés présentaient une concentration anormalement élevée en métaux lourds, très présentes dans les zones industrielles et dans les gaz d’échappement.

Il serait toutefois intéressant d’étudier cette possibilité à Montréal, afin de rentabiliser les locaux vacants.

Source

http://geekandfood.fr/pasona-ferme-urbaine/?utm_source=ReviveOldPost&utm_medium=social&utm_campaign=ReviveOldPost

http://citizenpost.fr/2015/08/ferme-urbaine-coeur-dun-immeuble-de-bureaux-tokyoite/

https://mrmondialisation.org/pasona-une-ferme-au-coeur-des-gratte-ciel-de-tokyo/

Après Airbnb et Über, place aux chefs à domicile

Après Airbnb et Über, une nouvelle initiative voit le jour sur les platebandes de la restauration, celui du chef à domicile. L’initiative est déjà installée aux É.U. (EatWith) et en France (Vizeat).  Si les hôtes y voient l’opportunité d’ouvrir leur porte à de nouvelles rencontres tout en étant rémunéré, les invités, moyennant un tarif, y voient l’opportunité de se plonger directement au cœur de la culture locale, à un coût moins élevé qu’au restaurant.

Les compagnies évaluent préalablement les hôtes afin de s’assurer qu’ils possèdent les qualités requises, soit une aptitude à recevoir et échanger, des talents culinaires et l’ambiance de la maison. La maison et le menu sont étudiés avant d’être ajoutés à la plateforme.

Comment est perçue ces nouveaux joueurs au sein de l’industrie de la restauration? BBC révélait que les chefs sont inquiets de voir leur gagne-pain menacé par ces hôtes pouvant offrir des repas comparables à des prix beaucoup plus bas. De plus, certains ont soulevé le fait que ces hôtes ne paient pas d'impôts, ne créent  d’emplois et s’exposent à la possibilité de violer les règles d’hygiène.

Pour l’instant, après avoir épluché les sites, le service n’est pas disponible au Québec. Reste à voir si le Canada suivra la tendance. D’ici là, nous avons toujours le Restaurant Day.

Photo ©Mike Lowell

Caribou, un nouveau magazine bouffe dès l'automne

Caribou est le fruit de la rencontre des journalistes Geneviève Vézina-Montplaisir, Véronique Leduc, Audrey Lavoie et Vincent Fortier souhaitant écrire sur la bouffe et faire état du dynamisme de la scène gourmande québécoise.

Ce magazine répond à un besoin. Comme blogueuse bouffe, je ne pouvais passer sous silence cette initiative. En effet,  on ne retrouvait pratiquement pas ou du moins peu de publications portant sur la culture culinaire québécoise abordant  les aspect culturel, anthropologique, sociologique et politique. Il verra le jour à l’automne sous forme de 2 publications par année. Or, pour voir le jour ce magazine a besoin de financement. Il est possible d’y contribuer ici.

Il est également possible de les suivre sur les médias sociaux Facebook, Twitter, et Instagram

Mes 3 mots pour 2014

Frédéric, Debbie et Émilie ont fait l’exercice. Je trouvais l’idée géniale mais je n’arrivais pas à résumer mes objectifs pour 2014 en 3 mots. J’ai suivi les conseils de Frédéric. Voici donc le fruit de ma réflexion. Quand on y pense, les 3 mots sont liés. C’est peut-être un signe que je dois aller dans cette direction.

Audace

Avec l’âge, je réalise que je prends de moins en moins de chance et tout tourne autour de la notion de risques calculés. À titre d’exemple, ce blogue bouffe. Je lisais plusieurs blogues de bouffe sans jamais oser faire le saut. J’ai envie de renouer avec l’audace qui m’habitait plus jeune. Rêver grand sans penser aux résultats, juste sortir de ma zone de confort.

Imprévu

J’ai envie de faire de plus en place à l’imprévu, à la spontanéité. Me retrouver là où je n’avais pas prévu me retrouver.  Prenons l’exemple du 31 décembre dernier. Invitée depuis quelques temps par une amie et son chum à une soirée, plus le temps approchait, le froid, la vie et ses soucis, tout s’enlignait pour que je décline l’invitation. Plus je roulais vers la destination, plus je voyais les opportunités de faire demi-tour se présenter devant moi.  J’ai bien fait de me tenir tête. Une soirée qui a été plus que bénéfique, sur le plan social mais aussi personnel (voir le 3^e mot par la suite). Souvent, les moments les plus réussis sont ceux où on se décide à la dernière minute, pour les vêtements, pour la bouffe, pour la soirée.

Créativité

Bien avant d’étudier et de travailler dans un domaine « sérieux», j’avais un côté artistique que la vie et ses obligations ont tôt fait d’étouffer. Quand j’y pense, à 20 ans, j’écrivais des nouvelles littéraires, je rêvais de vivre de mes toiles, je jouais quelques instruments de musique, j’étudiais en graphisme. J’ai envie de renouer avec ce côté que j’ai fini par ignorer. J’ai en tête un projet un peu fou, celui de rédiger mon scénario de film. Je m’ennuie de l’époque où je passais ma vie dans une salle de cinéma, à décortiquer les films, les scènes, trouver les influences, les thèmes chers de réalisateurs. 

3 mots, très simples, mais révélateurs. Comme le dit Frédéric, l'exercice vaut la peine.

Party japonais chez Grumman78

Dans le cadre d'Omnivore World Tour, Grumman78 présente un party japonais.

L'évènement aura lieu à son quartier général le 18 août prochain. Le chef invité est Pierre Sang Boyer.

Où
Quartier général situé au 630 rue de Courcelle

Quand
Dimanche 18 aoùt 2012

Heure
Dès 13h00

Aucune réservation requise

Futilités parmi les nominés des Trophées Influenceurs 2013 dans la catégorie Gastronomie et Vin !

Quelle nouvelle ce matin. J'apprenais, avec bonheur, que mon blogue se retrouvait parmi les nominés des Trophées Influenceurs 2013 dans la catégorie Gastronomie et Vin !

Je profite de l'occasion pour vous remercier pour votre fidélité, vos commentaires, votre présence. Ca me touche profondément. Mine de rien, ce petit projet anodin prend une place parmi la blogosphère et ca me touche profondément.

Merci!

Crème glacée en vente - semaine du 5 juillet 2012

À voir la popularité du billet portant sur les spéciaux concernant la crème glacée, j'arrive à la conclusion que mes enquêtes répondent à un besoin. Je récidive donc cette semaine.

Metro



Crème glacée Parlour est à 2.99$ chez Metro. Je vous rappelle que Chocolat et banane vaut le détour

IGA



La Häagen Dasz est à 4.499$ oui oui, je dis bien 4.49$ chez IGA. Merci de bien vouloir me laisser quelques pots de La moitié du gras Citron

Test de goût - Crème glacée à saveur de Banane royale

J'ai déniché chez Loblaw's une nouvelle saveur sous la bannière Le Choix du président. J'invite les détracteurs de la banane ou de la royauté à poursuivre la lecture parce qu'il existe d'autres variétés de saveur et que le prix est à 2.99$ chez Loblaw's pour le format de 946 ml.

Si l'originalité de la saveur peut impressionner, je suis restée un peu sur ma faim. On ne goûte pas assez la banane. Le goût de la cerise altère complètement le goût particulier et unique de la banane.

Ceci dit, on retrouve d'autres saveurs intéressantes. La mangue a retenu mon attention. Je vous invite à consulter le site de Loblaw's pour découvrir la variété de saveurs. À 2.99$ ca vaut le détour.

Test de goût - Chunky Monkey

C'est Josée qui m'a mis la puce à l'oreille. Je ne connaissais pas du tout cette sorte. En fait, Ben & Jerry's est pratiquement introuvable dans mon coin. Il faut persévérer dans notre pélérinage, ratisser tous les coins de la région pour en trouver, c'est bien dommage.

La Chunky Monkey est une crème glacée à base de noix et de fudge. Les noix donnent un petit punch à la banane. La banane est encore très présente. J'aime sa texture crémeuse, onctueuse. Un délice, rien de moins

À découvrir vous aussi

Test de goût - Crème glacée

Je partage depuis un an mes coups de cœur et mes impressions sur la crème glacée entre copines, sur mon mur Facebook. L’idée d’en faire un billet n’est pas la mienne, elle vient de la pétillante, dynamique et géniale Mudd. Et Mudd a vraiment eu un coup de génie, nous sommes plusieurs à échanger sur le sujet. Je compile ici nos impressions

Commençons par mes coups de cœur.

Häagen Dasz La moitié du gras Citron

Acide, onctueuse, crémeuse. C’est Geneviève qui m’a fait découvrir cet immense bonheur. Cette dernière m’assure que le HD Citron se mange très bien en cornet. Josée, elle, la déguste avec un thé et de la menthe. Moi, je la prends nature, je lui laisse toute la place et ne lui fais aucun ombrage.

Parlour Chocolat et Banane

Lorsque la Häagen Dasz La moitié du gras Citron est introuvable, je me tourne vers ce récent coup de cœur. Après un premier pot, après le premier coup de foudre, j’ai voulu laisser retomber la poussière. La curiosité m’a poussé à vérifier si mes impressions étaient fondées sur du solide, du concret et non un feu de paille, une petite vite. Eh bien, l’intérêt est encore là. Le goût de la banane n’est nullement noyé par la présence du chocolat. Et l’inverse est aussi vrai. Un coup de foudre, vous dis-je.

Limette sorbet laitier PC Menu Bleu

C’est Muriel qui m’a fait découvrir ce pot. On sent le goût de la lime, subtil mais assez présent.

Dans la catégorie «J’ai aimé mais tièdement»

Häagen Dasz Dulce de leche

Je suis folle du caramel, j’en raffole, je le détecte des milles à la ronde pourtant, on ne le sent pas assez dans ce pot. Une mauvaise batch? J’en doute. J’ai vraiment tout fait pour l’aimer, je l’ai acheté à plusieurs reprises, je l’ai savouré attentivement mais que voulez-vous, le déclic, l’énergie ne passe pas entre nous.

Häagen Dasz Rafale de pâte à biscuits

Je qualifierais ce pot de « film dont tout le monde parle, qu’on décide enfin de voir mais qu’on a trop attendu, rendant nos attentes trop élevées». Voilà. Tout le monde aime cette saveur mais je pense que mes attentes étaient trop élevées

Häagen Dasz Chocolat beurre d’arachide

Je ne raffole pas du beurre d’arachide. Je ne le déteste pas, mais il me laisse tiède. Chocolaté ou non.

Ma grande déception

Häagen Dasz Chocolat Maya

Autant Häagen Dasz La moitié du gras citron m’a fait connaître l’extase, autant le goût trop prononcé, trop intense, sans aucune finesse du Chocolat Maya m’a profondément déçu. Que pourrais-je ajouter de plus? Amère déception…

Pistes à explorer

Coaticook Orange

J’ai aimé passionnément l’orange, une passion aveugle, folle, sans aucune attente en retour. Malheureusement, le citron est entré dans ma vie et l’orange fut vite oubliée. J’ai envie de renouer avec elle.

Coaticook Cerise noire

Mudd a vécu un échange intense avec la cerise noire. Je suis curieuse de vérifier si je vais atteindre l’extase à mon tour.

Les copains ont aimé

Coaticook Bleuets

Coaticook Double chocolat

Coaticook Pistache

Coaticook Sucre d’érable

Coaticook Vanille