Photo © Verita
C’est du moins ce
que rapporte la plus récente étude de l'Université Carnegie Mellon. En effet, les
régimes végétariens contribuent davantage au changement climatique que qu’un
régime omnivore. Or, si élever un porc exige beaucoup plus de ressources que
d'élever quelques têtes de laitue iceberg, dix livres de porc alimentent beaucoup plus de gens de dix livres de laitue.
C’est
là où le bât blesse. Il faut produire davantage de légumes que de viandes.
L'étude s’est
penché sur les habitudes de consommation
alimentaire des États-Unis et mesuré leur consommation d'énergie, les émissions
de gaz à effet de serre, et les besoins en eau. Initialement,
l'équipe souhaitait examiner l’impact de l'épidémie d'obésité en Amérique sur
l'environnement, en tenant compte de l'agriculture, de la transformation et de
transport, ainsi que même des facteurs plus complexes tels que les ventes de
produits, les services alimentaires, et même la façon dont ces aliments sont entreposés.
Or, éliminer totalement la consommation de viande en faveur des fruits,
légumes, produits laitiers, fruits de mer augmenterait les émissions de carbone
de 6 pour cent, la consommation d'eau de 10 pour cent, etl’utilisation de
l'énergie de 38 pour cent.
Michelle Tom, chercheure, conclut en affirmant qu’il y a une relation complexe entre l'alimentation et l'environnement. Ce qui est bon pour en terme de saine alimentation est pas toujours ce qui est mieux pour l'environnement.
Michelle Tom, chercheure, conclut en affirmant qu’il y a une relation complexe entre l'alimentation et l'environnement. Ce qui est bon pour en terme de saine alimentation est pas toujours ce qui est mieux pour l'environnement.
Pour consulter l'étude, c'est ici
Source: Carnegie Mellon University
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