Selon Fany Gerson, propriétaire de Dough et de La Newyorkina, 80% de son personnel est d'origine hispanique. Si ses employés sont légalement autorisés à vivre et à travailler aux ÉU, ce n'est pas le cas de leur famille. Même son de cloche de la part de Cosme Aguilar, Casa Enrique, il est important que ses employés soient autorisés à travailler aux ÉU.
Barbara Sibley, propriétaire de La Palapa, fortement impliquée dans la communauté, voit cette élection comme une trahison. Certains vont jusqu'à remettre en question leur rêve américain comme le souligne Alex Stupak, propriétaire de Empellón Cocina, de Taqueria, et d'al Pastor
Le retrait des ÉU de l'accord pourrait aussi nuire à l'industrie de la restauration. Si le retrait se justifie, selon Donald Trump, par une diminution de la valeur des produits américains, le retrait de l'importation de produits mexicains, moins onéreux, aura un impact économique sur l'industrie, comme le souligne Guillaume Guevara, propriétaire de Miscelánea
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Photo © Krista
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