La première génération de chefs spécialisés en curry qui ont ouvert des restaurants dans les années 1960 étaient pour la plupart du Pakistan oriental, aujourd'hui le Bangladesh, sont maintenant à la retraiteé. Ils ne peuvent pas trouver de relève pour les remplacer.
La clientèle de plus en plus exigeante souhaite une cuisine authentique reflétant la diversité et la raffinement culinaire de l'Inde, une tendance également observée avec l'augmentation du nombre de restaurants indiens étoilés. Or, les cuisiniers indiens formés en Grande-Bretagne sont rares, et les chefs disent qu'il faut au moins sept ans à pour former la relève.
Les politiciens et les entrepreneurs exhortent le gouvernement à assouplir les règles d'immigration qui plafonnent les migrants qualifiés arrivant de l'extérieur de l'Union européenne et qui exigent de verser une somme d'au moins 29 570 £ par an, ce qui est de 5000 £ de plus que le salaire moyen dans l'industrie. On devra probablement remédier à la situation rapidement. Comme le soulignait Shahanoor Khan, le secrétaire généra British Bangladeshi Caterer Association, un tiers des 12 500 institutions relative au curry sont confrontés à la fermeture parce qu'ils ne peuvent pas trouver chefs.
Photo © Likabiker
Aucun commentaire:
Publier un commentaire